Franck Duponchel : « Quand je vois Richardson, je pense à l’époque où les dames se baladaient avec leur ombrelle. »
Grazia Labagnara : « J’ai envie de partir, de pêcher des monstres marins. Je suis fière parce que c’est mon copain. »
Marie-Agnès Guillot : « C’est drôle, Rudy Ricciotti, le plus macho des architectes marseillais, a construit un bâtiment très féminin et Zaha Hadid, la femme architecte, a planté une tour phallique. »
Luigi Piscitelli : « Le quai de la Joliette, en travaux, m’évoque un scénario de résistance, de barricades. »
Muriel Benisty : «De la statue aux Romains, des Romains à la Grèce, de la Grèce à la dette et du bâton à « abattons ».
Sériba Doumbia : « Pour moi, le rêve et le songe, c’est pareil. »
Sylvie Frémiot : « La distance entre nous m’émerveille. Il m’a plu cet Hôpital européen, avec tous ces gens qui viennent d’ailleurs. »
La grande salle du théâtre est transformée en studio d’enregistrement. Chistian Noël, le régisseur général, qui a enregistré toutes les voix de Marseille au studio Cactus, a installé ses micros et consoles sur la scène. Magali Durand, 11 enfants de l’école Désirée Clary et 8 de leurs parents, sont venus enregistrer les bruits de bouche.
Les séances de travail autour de l’ordinateur, pour finaliser les œuvres graphiques, s’enchaînent à un rythme soutenu. Les songeurs défilent, découvrent les images assemblées par Guy-André…
Séance à l’école, pour la préparation de la chorale.